Tawan Wattuya peint principalement à l’aquarelle. Il vit et travaille à Bangkok et est actuellement en résidence artistique à Intermondes – humanités océanes.

Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise.

Tawan Wattuya, en trois mots ?

Oh c’est difficile ça ! Je ne réfléchis, jamais sur moi même (rires). Je dirais : Profiter de la vie.

Ton plus beau souvenir ?

Ma rencontre avec ma petite amie avec laquelle je vis toujours aujourd’hui. C’était pendant la période du covid, au nord de la Thaïlande, dans un grand hôtel. Le propriétaire devait fermer l’hôtel pour cause de covid mais l’a ouvert pour nous.

Ton rêve le plus fou ?

J’ai rêvé il y a une dizaine d’année que je me trouvais ici dans ce lieu à Intermondes. Mais je ne connaissais pas l’endroit à l’époque. Je l’ai juste réalisé en arrivant ici. Comme un sentiment de « déjà vu ».

ROCCO – Aquarelle de Tawan Wattuya

Futur(s) projet (s) ?

D’ores et déjà mon exposition de fin de résidence ici à Intermondes – humanités océanes du 13 mai au 13 juin 2024. Par ailleurs je continue à peindre mes séries « Animal », des corps d’humains dans des corps d’animaux.  J’ai exposé dernièrement à Bruxelles et j’espère beaucoup d’autres expositions à venir.

Le(s) mot(s) de la fin ?

J’ai exposé dans plusieurs endroits dans le monde et suis venu plusieurs fois exposer en France. Mais c’est la première fois que l’on me propose une résidence de création en France. et j’en suis très heureux.

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