Nicolas Martin est directeur de La Rochelle Tourisme & Evénements depuis le 1er septembre 2021.

Amateur de marathon, de rugby et de rock, ce passionné de vin et gastronomie, d’histoire et patrimoine est un homme charmant et engagé.  Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise au pied du symbolique globe de la Francophonie du sculpteur Bruce Krebs.

Nicolas Martin, en trois mots ?

Ouh là, tu aurais dû me prévenir avant ! (rires) Iconoclaste, engagé, timide.

Ton plus beau souvenir ?

Il y en a tellement. Les sommets du Mont Perdu dans les Pyrénées. Parce que c’était mon premier 3000, parce que c’était avec un bon copain, parce que c’était à l’époque où il y avait encore des glaciers dans les Pyrénées qui ont pratiquement tous disparus. Parce que je suis un fou de montagne et parce que c’est juste super beau.

Ton  rêve le plus fou ?

Une cabane dans les bois dans la montagne. Rien que pour moi. (rires) A la Sylvain Tesson mais moi je n’écrirai pas de bouquin. Et pas pour y passer six mois mais pour y rester. Bon pas tout le temps tout seul : avec ma guitare, quelques bonnes bouteilles, des copains et ma femme qui vient de temps en temps quand même ! (rires)

Prochain(s) projet(s) ? 

Nous sommes en ce moment en plein dedans, tu seras d’ailleurs invité : ce sera un évènement le 7 octobre prochain (2023) à l’Espace Encan qui s’appellera « Les Végé de l’Encan« . Sur le même principe que « La Criée de l’Encan« , qui a très bien marché, autour des légumes. Un évènement végétarien et festif car on peut être végétarien sans pour autant ne manger que des graines et être triste (rires). Il y aura de la musique, des concerts, plein d’animations autour des produits locaux : légumes, légumineuses, des fromages et pourquoi pas des algues. Et on fera la fête autour de tout ça. C’est un joli projet qui fédère pas mal l’équipe de La Rochelle Tourisme et Evènements et au delà.

Nous sommes aussi sur un projet global de remise à niveau de l’Espace Encan et du Forum des Pertuis. Et essayer de faire en sorte que le tourisme à La Rochelle laisse une empreinte la plus furtive possible. Dans l’esprit d’un tourisme « apaisé ». Nous ne sommes ni à Barcelone, ni à Venise ni à Dubrovnik. Nous sommes les premiers à râler lorsqu’il y a un peu trop de monde au mois d’août mais il faut que tout se passe pour le mieux sur le territoire, c’est mon vœu le plus cher.

Le(s) mot(s) de la fin ?

Résolument optimiste !

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