Camille Lagrange, Culture et design, et Marguerite La Rochelaise

Rencontre avec Camille Lagrange

Camille Lagrange est depuis 2020 chargé de la Culture, des Équipements Culturels et de la Communication et Information à la ville d’Aytré. Il est également l’un des fondateurs de Bobaril, Manufacture joyeuse de mobilier upcyclé.

Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise.

Camille Lagrange, Culture et design, et Marguerite La Rochelaise

Camille Lagrange, en trois mots ?

Oh la la, je suis incapable de répondre à ça ! J’étais déjà nul dans ls entretiens d’embauche quand il fallait donner ses principales qualités et défauts (rires).

Ton plus beau souvenir ?

De ma vie ? D’ores et déjà la naissance de mes enfants, même si c’est un peu bateau. Mon plus beau souvenir immédiat est ma fille à la chorale de son école il y a une demie heure. J’ai une mémoire de poisson rouge moi (rires).

Ton rêve le plus fou ?

J’ai des rêves qui ne sont pas fous. J’ai plutôt des rêves de proximité. J’ai un rêve depuis une quinzaine d’années : comme tous les bons bobos qui se respectent, c’est d’acheter un van et sillonner la France, l’Europe et plus si affinités. Ce sont des rêves accessibles.

Camille Lagrange et Alban Nouelle, deux des cinq créateurs de Bobaril, petite entreprise installée à Périgny, qui recycle les bidons des industriels. © Romuald Augé/ Sud Ouest

Camille Lagrange et Alban Nouelle, deux des cinq créateurs de Bobaril, petite entreprise installée à Périgny, qui recycle les bidons des industriels. © Romuald Augé/ Sud Ouest

Futur(s) projet (s) ?

J’en ai plusieurs ayant plusieurs caquettes. Mon projet à trois ans est de finir mon mandat d’élu à la Culture à la ville d’Aytré proprement. Jai vraiment envie d’aller au bout des choses. Envie de boucler une boucle au bout de ses six ans qui je l’espère auront servi à quelque chose. Et surtout me survivre, c’est le plus important. Etre en capacité d’amener des nouvelles choses à la ville comme par exemple le Festival L’Horizon fait le Mur est une fierté. L’idée étant que les choses s’installent et perdurent. Je trouve cela formidable pour une ville de 10 000 habitants d’accueillir un festival de cette envergure.

Et avec Bobaril continuer à gravir nos échelons un à un, de faire de cette entreprise d’upcycling une boite viable et désirable.

Le(s) mot(s) de la fin ?

C’est dur de répondre en un seul mot. Les mots de la fin ? Déjà que cela ne se termine pas, qu’il n’y ait pas de fin en fait !