PPJ © Tous droits réservés

Rencontre avec PPJ

Paula, Povoa & Jerge forment PPJ, groupe de techno-pop protéiforme et d’influences brésiliennes. Les trois amis nous invitent dans une bulle de positivité́ sensible et festive qui fait un bien fou. Sélectionné au Chantier des Francos un groupe à écouter sans modération.
PPJ, trois prénoms, trois personnalités, trois belles rencontres de Marguerite La Rochelaise lors de leur passage aux Francofolies de La Rochelle 2022.

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Racontez-moi votre belle rencontre ?

(Jerge) On se connaît depuis une quinzaine d’années avec Povoa. C’est depuis le confinement que l’on fait de la musique tous les trois et que PPJ est né. Le confinement a été pour nous trois un moment bénéfique. Un heureux évènement.
(Paola) C’était en Normandie, c’était le printemps. C’était assez magique, il faisait beau. Il y avait des vaches, des chevaux, du son, on était libres de faire ce que l’on voulait en ayant la chance d’être à la campagne. Et la chance d’être avec Pascal, le papa de Povoa
(Povoa) Mon papa !!!
(Paola) On t’aime Pascal, si tu nous lis on nous écoute !!! (rires)

PPJ en trois mots ?

Amis, Brésil, l’inverse de JPP
JPP voulant dire « J’en peux plus ». Et l’inverse de j’en peux plus c’est j’en veux encore !!! (rires). Bon d’accord ça fait plus de trois mots…

Votre plus beau souvenir ?

(Jerge) Notre plus beau souvenir commun sera notre live au Théâtre Verdière à La Coursive tout à l’heure.
(Paola) Macron annonce que c’est lockdown. Je suis dans le train couchette en direction de la Normandie me confiner avec les garçons. Six heures du matin, à la gare Saint Lazare, sans bien savoir ce que je fais ici.

Votre rêve le plus fou ?

(Paola) Mon rêve pour PPJ est d’être sur le continent sud-américain et jouer au Brésil, mon pays d’origine. On en prend le chemin et ce sera pour moi une explosion de tous mes sens.
(Jerge) Que cette amitié dure le plus longtemps possible !
(Povoa) De rester toujours libres de tout en se frayant un chemin sur la scène electro. Ça passe par de futurs festivals que l’on n’a pas encore fait, des signatures pour de nouveaux labels
(Paola) Mais ce sera nous le label !!!
(Povoa) Oui en fait ce serait un super rêve de créer notre propre label. Et être reconnus dans la scène electro tout en restant bien égoïstes sur ce que l’on a envie de faire. (rires)

PPJ – Dar Um out on Recherche & Développement

Prochain(s) projet(s) ?

(Povoa) Il y en a un qui s’est réalisé hier : nous avons sorti notre deuxième single. Puis notre troisième disque qui sortira en septembre prochain. Et donc un troisième single fin août, début septembre. Notre dernier bébé s’appelle « Darum ». C’est un titre aromatisé eurodance et on l’adore !
(Paola) Oh oui, il est positif. Et c’est aussi un super clip réalisé par notre cher Povoa. En 3D avec nous trois en personnages animés. C’est fun et adorable. Le son comme l’image donnent vraiment le smile ! « Darum » est le début de « Dar um beso » qui veut dire fais moi un bisou en brésilien.
(Jerge) Il y a également un autre titre qui s’appelle « Bora » qui sortira au mois de septembre.
(Paola) Un énorme projet me tient vraiment à cœur : le PPJ Club. C’est-à-dire sortir des programmations « normales » et nous produire dans les clubs et discothèques. On a commencé à Bruxelles il y a peu, c’était vraiment cool. Prévoir un set pour les clubs, techno, bon esprit et en live. Proposer ainsi quelque chose de nouveau. Nous l’avons déjà fait avec Jerge avec notre groupe Tango Tango. Nous étions programmés sur des slots tardifs entre deux DJs sur des festivals notamment et c’était trop top. Revivre cette expérience tous les trois serait vraiment génial.
(Povoa) D’autant que l’on a vraiment matière à le proposer aujourd’hui. On peut vraiment aller partout, même dans des lieux improbables comme une crèche ou un hôpital. On aimerait vraiment aussi jouer en prison. Dans l’esprit de jouer pour tous et partout.
(Paola) Nous on veut jouer pour tout le monde : les beaufs, les snobs, les joueurs de golf, les enfants, les brésiliens, les marseillais, partout, tout le temps, sur tous les continents. (rires)

Le(s) mot(s) de la fin ?

(Jerge) Meuh !!!! (rires)
(Povoa) On t’aime Marguerite
(Paola) Besam

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