Des installations vidéo et des films expérimentaux pour le cinéma aux peintures d’objets, Paulius Sliaupa travaille avec des associations pour créer un voyage à travers différents espaces et sensations.

Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise lors de sa résidence artistique à Intermondes – Humanités océanes.

Paulius Sliaupa, en trois mots ?

Curieux, explorateur, rêveur.

Ton plus beau souvenir ?

Un souvenir d’enfance avec ma grand mère. Nous nous levions très tôt le matin pour aller ramasser des champignons et je regardais la nature s’éveiller doucement et lentement, le soleil se lever. Nous rentrions heureux et fatigués. Ma grand mère allait vendre ensuite ses champignons sur le marché. Un souvenir plein d’émotions.

Ton rêve le plus fou ?

J’aimerais traverser l’océan en bateau, Sur un bateau lent pour prendre tout mon temps, filmer l’océan, l’eau, les nuages changeant, le ciel. Découvrir et filmer les moments où le ciel et la mer se mêlent, découvrir et transcrire toutes ces couleurs. Un éloge artistique de la lenteur entre ciel et mer.

Paulius Sliaupa – The monk

Futur(s) projet (s) ?

En accumulant des images picturales, des sons et des énergies, je forme des récits. Mes recherches artistiques m’ont amené à explorer les structures du cinéma poétique, de l’image en mouvement d’artiste, du suspense, du réalisme magique et de la littérature de science-fiction. La plupart des projets consistent en plusieurs œuvres, regroupées autour de thèmes spécifiques tels que les structures organiques, les rituels dans la nature ; le flux de lumière naturelle et artificielle ; des expéditions dans le mystère de la nuit, des happenings absurdement séduisants.

Le(s) mot(s) de la fin ?

Tu seras le bienvenu en septembre 2024 pour mon exposition à Intermondes – Humanités océanes

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