Eloïse Lega crée une œuvre plastique sensible traversée par une attention à l’humain, engagé dans la vie fragile et éphémère ou entravé dans une libre circulation par les barrière et les frontières.

Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise lors de sa résidence au Centre Intermondes Ethnopôle Humanités océanes à La Rochelle et la présentation de son exposition « Allumettes« .

Eloïse Lega, en trois mots ?

Souvenir, mémoire, mélancolie

Ton plus beau souvenir ?

Oh la c’est une colle… J’en ai un plutôt lié au monde artistique. Ce n’est pas un souvenir familial (je garde ainsi ma vie privée). C’est la raison qui m’amène ici à La Rochelle. J’ai participé au prix Art Contest à Bruxelles et j’étais déjà enchantée d’avoir été sélectionnée. J’exposais à Bruxelles pour la première fois, j’étais très heureuse du projet présenté. J’ai ainsi rencontré des personnes bienveillantes. C’est important dans le monde de l’art de se dire que tout n’est pas fait que de compétitions. Et à la fin de la soirée j’apprends que j’ai gagné le prix ! Je n’y croyais même pas. Cela a engendré plein de belles et nouvelles rencontres cela m’a aussi permis de renouer avec des personnes un peu perdues de vue.

Ton rêve le plus fou ?

Le rêve que je mène actuellement (rires). Il est pas si fou d’ailleurs. Mon rêve serait de vire sur un bateau et d’en faire un bateau atelier. Je ne viens pas du tout d’une famille maritime donc ce sera aussi un défi. prendre des cours de navigation et apprendre. Et peut être qu’un jour je viendrais vous voir à La Rochelle avec mon bateau (rires).

Eloise Lega Centre Intermondes La Rochelle

Futur(s) projet (s) ?

Après mon exposition « Allumettes » au Centre Intermondes, je vais réaliser ma première exposition solo à la galerie du Botanique à Bruxelles en décembre. Est également prévue cette année l’exposition Art Contest qui réunira dix jeunes artistes et j’aurais la chance d’avoir une salle pour présenter mon projet. Il est également prévu que je participe à une exposition collective au Centre Wallonie Bruxelles à Paris. Ce sera donc la seconde fois que j’exposerai en France.

Le(s) mot(s) de la fin ?

Soyez heureux et vivez vos rêves à fond. Ne jamais s’imposer de limites.

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