Sylvain Couasnon et Marguerite La Rochelaise

Rencontre avec Sylvain Couasnon

Véritable mémoire du quartier des Minimes où il est né en 1960, Sylvain Couasnon raconte son quartier notamment lors des Journées Européennes du Patrimoine et au travers d’un ouvrage de textes et photographies « Les Minimes disparus ».

Sylvain Couasnon et Marguerite La Rochelaise

Sylvain Couasnon, en trois mots ?

Difficile ça ! Tolérant, ouvert d’esprit et partageur.

Ton plus beau souvenir ou évènement marquant ?

J’en ai tellement, ce n’est pas évident de faire un choix. Je dirais mon enfance aux Minimes. C’était bien sûr une autre époque, il y avait un certain état d’esprit, de la joie de vivre. C’était un quartier où l’on s’amusait beaucoup, il n’y avait pas de violence, nous avions de l’espace pour jouer, tout le monde se connaissait.

Sylvain Couasnon et sa famille - 1968

Sylvain Couasnon et sa famille – 1968

Ton rêve le plus fou ?

Bien vieillir ! (rires) Et surtout rester aux Minimes jusqu’à la fin de mes jours.

Futur(s) projet (s) ?

La sortie de mon livre « Les Minimes disparus« . Et d’ici quelques temps une BD coécrite avec mon cousin Serge Couasnon sur la vie de mon arrière grand-père arrivé aux Minimes en 1892. On espère que cette histoire captivera le public.

Les Minimes Disparus - Sylvain Couasnon

Enfin continuer ce que je fais depuis quelques années déjà pendant les Journées Européennes du Patrimoine : faire découvrir le quartier des Minimes et le Domaine de Coureilles.

Le(s) mot(s) de la fin ?

Que l’on me prête vie le plus longtemps possible !

Sylvain Couasnon

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