De nationalité colombienne, Carlota Sandoval Lizarralde vit et travaille à Paris.

Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise lors de sa résidence portée par Encore ! Fonds de dotation Groupe Chessé à l’Hôtel de Craon à La Rochelle.

Carlota Sandoval Lizarralde, en trois mots ?

Woaw c’est compliqué ! Intuition, fluidité et transparence.

Ton plus beau souvenir ou évènement marquant ?

Il y en a trop (rires). Lorsque j’ai vu le fantôme de mon grand père venu dans ma chambre me dire au revoir. C’était 27 ans après sa mort, en Colombie. Il était 3 heures du matin, j’étais en compagnie de ma mère. Nous l’avons vu toutes les deux.

Ton rêve le plus fou ?

Réussir à me trouver dans deux endroits en même temps.

Tierra gestante – Carlota Sandoval Lizarralde

Futur(s) projet (s) ?

Une exposition à partir de la mi-octobre dans un super lieu, Les Sheds à Pantin, visible pendant un mois et demi. J’ai en fait mon atelier à Pantin et j’ai aussi une exposition prévue aux Magasins Généraux. Prévue également une exposition au Centre Culturel Wallonie Bruxelles à Paris. J’ai également des projets avec des publics : des étudiants d’une part et des collégiens de Sevran avec lesquels j’ai travaillé pendant un an, Je reprends également des soirées poésies que j’organisais il y a deux ans et que j’avais un peu laissé de côté. Des évènements où j’invite artistes et poètes à performer et s’exprimer.

Le(s) mot(s) de la fin ?

C’est vaste ! (rires). Le véritable amour, c’est l’amitié.

Carlota Sandoval Lizarralde @ Gregory Brehin

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